Le cabinet est né d’une conviction simple : chaque être humain mérite d’être écouté sans jugement, surtout lorsqu’il traverse une période de blocage ou d’incompréhension.
Forte de plus de vingt ans d’expérience en médiation sociale, Chantal TRIPOLI a fondé ce cabinet en Guadeloupe pour offrir un espace neutre, respectueux et profondément humain à celles et ceux qui souhaitent rétablir le dialogue dans leur vie personnelle, familiale ou professionnelle.
Au commencement, il n’y avait pas de cabinet.
Il y avait des personnes en difficulté, des familles à bout de souffle, des jeunes en rupture, des professionnels en détresse…et une femme sur le terrain, qui écoutait.
Chantal TRIPOLI a passé plus de deux décennies à sillonner les quartiers, les établissements scolaires, les hôpitaux, les associations. Elle a accompagné des centaines de situations, parfois douloureuses, souvent complexes, toujours humaines.
Dans ces moments où tout semblait figé, elle n’a jamais apporté de solution toute faite. Elle a préféré poser une chaise, tendre l’oreille, et créer cet espace rare où l’on se sent entendu sans être jugé.
De l’expérience à l’évidence
C’est de cette pratique patiente et engagée qu’est née l’idée du cabinet : un espace dédié à la médiation sociale, mais aussi à la reconstruction du lien, au-delà des dispositifs habituels.
KORAA Médiation n’a pas été imaginé comme une structure administrative ou figée. C’est une réponse souple, humaine, et profondément ancrée dans les réalités ultramarines.
Le cabinet a vu le jour pour formaliser une mission déjà présente depuis longtemps : celle d’accompagner sans imposer, de rendre la parole à ceux qui ne se sentent plus écoutés, et de mettre le respect au cœur de chaque échange.
Un nom, une intention
Pourquoi KORAA ?
Parce que ce mot, inspiré des sonorités africaines et caribéennes, évoque à la fois l’héritage, l’ancrage, et la résonance.
Il porte en lui la mémoire des voix qu’on n’écoute pas, la force des liens qu’on peut reconstruire, et l’espoir de ce qui reste à dire.
Une posture claire dès le départ
Dès sa création, le cabinet a défini un cadre simple mais exigeant :
Ni psychologue, ni assistante sociale, la médiatrice sociale ne soigne pas, n’oriente pas : elle éclaire la relation, elle crée un espace de circulation, où chacun peut redevenir acteur.
La posture est neutre, bienveillante, réaliste. Il ne s’agit pas de promettre l’impossible, mais de permettre l’expression, l’écoute mutuelle, et parfois la réconciliation.
Une mission toujours d’actualité
Aujourd’hui encore, les valeurs fondatrices du cabinet guident chaque intervention : respect, rigueur, et sens du réel.
Et si ce parcours a commencé dans la discrétion des entretiens de terrain, il s’écrit désormais à plus grande
échelle, avec la même fidélité à sa promesse d’origine :
Rétablir les liens qui comptent. En toute humanité.